Nous avons finalement choisi de réveillonner tranquillement à Assilah et comme avec le jambon ibérique pour Noël, nous ferons avec les moyens du bord avec notre bouteille de Champagne française accompagnée de pâtisseries locales. Ces quelques jours en mode pause n’étaient finalement pas de trop pour décoder le fonctionnement de ce pays dont les habitudes nous sont encore assez méconnues. Pour les courses par exemple, c’était jusqu’à présent facile de se rendre dans des super- ou hyper-marchés pour choisir tranquillement nos produits, ici point de magasins de ce genre hors des grandes agglomérations et l’on a du mal à savoir ce que les nombreux épiciers vendent sans devoir pénétrer dans leur caverne d’Ali Baba. Nous étions aussi passés plusieurs fois devant un souk tout proche de notre bivouac sans l‘apercevoir. Il ne faut pas hésiter à demander et on vous aide toujours avec beaucoup de gentillesse. Sauf que c’est l’arabe qui est la langue scolaire au Maroc et bien que les jeunes apprennent une seconde langue comme l’anglais, l’espagnol ou le français, ils la pratiquent à peu près aussi mal que les petits français. Seules les personnes ayant passé la cinquantaine parlent encore couramment le français qui n’est donc pas si répandu que cela au Maroc. Pareil pour les horaires, les administrations et certains magasins ferment le samedi-dimanche et d’autres baissent leur rideau le vendredi.
Il va falloir reprogrammer notre logiciel de Aziz à Zizou.
Spotwalla
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Méta
Bonne année ,bonne santé ,la forme vs l’avez …puisque vous etes chez moi au maroc et ca ..il faut le mériter et l’apprecier bonnes decouvertes encore et bizzzz. Salem oualikoumbh